La maladie

Lorsqu’une maladie grave (physique ou psychique) s’invite dans une famille, le quotidien en est fortement bouleversé. La maladie est un ‘’nouveau membre’’ qui s’impose dans la famille. Elle s’installe et bouleverse les places et rôles de chacun. Lorsqu’une personne est malade, c’est le système familial complet qui est déséquilibré. Les représentations Chaque personne a sa…

L’affirmation de soi

« L’affirmation de soi consiste en la capacité d’exprimer ses émotions, ses pensées et ses opinions de même que de défendre ses droits tout en respectant ceux des autres, ceci de façon directe, honnête et appropriée. » (Louis Chaloult, 2014)

L’affirmation de soi n’est pas innée et chaque individu doit développer cette habileté relationnelle pour être avec les autres en les respectant et en se respectant. Elle s’acquiert par un apprentissage à long terme. Cette compétence sociale est importante dans la vie de l’enfant et pour sa future vie d’adulte. Oser s’affirmer en défendant ses idées, ses valeurs permet à l’enfant (et/ou à l’adulte) de plus facilement prendre sa place dans un groupe et de favoriser les rencontres et les amitiés. On parle d’une saine affirmation lorsqu’un individu peut défendre son point de vue sans ressentir d’angoisse, de peur des moqueries ou des remarques et qu’il est capable d’entendre l’avis d’autrui. 

De la sur-stimulation au burn-out

On en parle de plus en plus mais est-ce une réalité ? Un enfant peut-il vraiment faire un burn-out ?

Dans notre vision d’adulte cela paraît impossible car un enfant est insouciant, il ne travaille pas, il n’a pas les soucis des adultes. Pourtant, certains enfants souffrent de burn-out. Ils arrivent épuisés dans les cabinets de pédiatres, de psychologues et autres thérapeutes.

Pourquoi parle-t-on de burn-out et de sur-stimulation ?

Rire pour grandir

Le rire est source de partage, de détente, de sécurité… Rire a un rôle social, il est dit communicatif et est réputé pour être contagieux ! C’est un facteur important de la communication non-verbale et une des premières formes de communication directe. Il nous est tous arrivé un jour ou l’autre d’être charmé par le rire…

(Re)prendre le rythme

Hé voilà, les vacances sont finies ! C’est parti pour une nouvelle (ou une 1ère) année scolaire. Durant les longues journées d’été, les vacances, la chaleur et le soleil ont assoupli les horaires et le rythme de vie est différent du reste de l’année. Le couché était plus tard, les repas étaient également décalés, c’était le rythme vacances ! Il est temps de reprendre la cadence « normale ».

D’un point de vue physiologique, la mise en place d’un horaire régulier pour les repas (y compris le goûter), le lever et le coucher est importante. Le rituel du coucher est d’une grande aide pour se remettre dans le rythme ; il va devoir reprendre sa place. Des heures fixes et régulières permettent à l’horloge biologique de se remettre dans le bon tempo. La régularité dans les horaires favorise un sommeil sain et réparateur, point fondamental pour être en forme, pouvoir se concentrer et utiliser au maximum ses compétences intellectuelles. On a beau savoir que le sommeil est un élément important pour le bon développement des enfants, il est souvent péjoré par le rythme de vie soutenu. Pour rappel, un enfant devrait dormir idéalement entre 10 à 12 heures par nuit.

Les émotions, ça brasse!

Dans la situation très particulière et anxiogène dans laquelle nous nous trouvons actuellement : doutes, incertitudes, incompréhensions, peurs, angoisses, colères, frustrations, agacement, énervement, lassitude, tristesse, surprise… ont créé un sacré méli-mélo émotionnel, autour d’un seul et même sujet, le COVID-19.