Le burn-out maternel ou épuisement maternel

Quand une séance avec une maman commence avec des phrases comme : « j’ai tout pour être heureuse : un mari, des enfants, une maison, un travail qui me plaît, mais ça ne va pas! Je ne sais pas pourquoi je suis comme ça, je me sens vidée ! » ou « Je ne peux pas me plaindre, mes enfants sont en bonne santé, on s’entend bien avec mon mari, mais j’en peux plus, je suis toujours débordée et tellement fatiguée ! ». Là, je me dis : Oups, attention voilà une maman au bout du rouleau qu’il va falloir aider à sortir de la croyance « j’ai donc je suis ».

Au 21ème siècle, il est encore des sujets tabous. Notamment le burn-out maternel et le burn-out des enfants. Cette semaine, je vous parle du premier. Il y a cette croyance qui veut que « parce qu’on a tout pour être heureuse, on l’est forcément ». Mais le bonheur, ce n’est pas quand on a ! C’est un sentiment intérieur de sérénité, de bien-être, d’être aimée, à la bonne place, compétente, reconnue…